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Retrouvez dans cette bibliothèque numérique la liste des documents publiés par la FEDELIMA classés par ordre chronologique, type et thématique.

313 documents


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PDF - 541.1 ko (PDF - 541.1 ko)

Mémoire du DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées" de l’Université d’Angers, 2003. L’étude est orientée sur la manière dont Tissé Métisse, lieu "nomade" de diffusion et de reconnaissance des pratiques artistiques des quartiers, peut intégrer une résidence d’artistes de musiques actuelles dans ses projets d’action culturelle. Le mémoire analyse le sens et les enjeux que peut provoquer une action culturelle telle la résidence d’artistes dans le contexte des quartiers en difficultés. Il souligne des éléments analytiques et méthodologiques utiles à l’ensemble des acteurs culturels.


Zip - 40.7 ko (ZIP - 40.7 ko)

Ce fichier au format ZIP contient une fiche type d’autorisation de captation, exploitation et de conservation "Vidéo et Photos" (Format Mac et PC - Doc et PDF). Cette fiche a été élaborée par le CAMJI à Niort et validée juridiquement par un avocat spécialisé sur le droit de la communication (droit à l’image, droit de la presse), de la propriété intellectuelle (droit d’auteur, droits voisins du droit d’auteur, droit des marques), de l’internet et des NTIC, tant dans le domaine du conseil que du contentieux.


Fiche-repère : les lieux de musiques actuelles
Date : 16/04/2018
Auteur(s) : OPALE
Type : > Synthèses

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Les fiches-repères d’Opale/CRDLA Culture sont réalisées en partenariat avec les réseaux et fédérations des arts et de la culture ainsi qu’avec des spécialistes des questions abordées. Elles ont pour objectif de donner des clés de compréhension sur un thème, une problématique ou un domaine culturel précis.

Ce guide réalisé en partenariat avec la FEDELIMA s’intéresse aux lieux de musiques actuelles et se destine aux porteurs de projet, chargés de mission DLA, réseaux et autres accompagnateurs.


Gestion sonore et musiques amplifiées
Date : 01/01/2001
Auteur(s) : Yannick Vérot

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Mémoire de Yannick Vérot, étudiant en 3ème année d’études à l’ENSAT (Lyon) publié en mai 2001. "A la différence des musiques acoustiques qui ne nécessitent éventuellement l’appoint ponctuel de sonorisation que pour une plus large diffusion, les musiques amplifiées sont créées et jouées à partir de la chaîne technique constituée par le microphone, les étages de pré-amplification, de mixage et d’amplification, les haut-parleurs. Le terme de musiques amplifiées regroupe entre autres : certaines formes de musiques et de chansons dites de variétés, certains types de jazz et de musiques du monde, de fusion, le jazz rock, le rock’n roll, hard rock, reggae, rap, la techno, la house, le funk, la dance, le punk, le hard-core, ainsi que tous les bricolages sonores non encore identifiés. On pourrait définir les musiques amplifiées par l’utilisation de l’électricité et de l’amplification comme éléments plus ou moins majeurs des créations musicales et des modes de vie."


PDF - 1.1 Mo (PDF - 1.1 Mo)

En avril 2020, les membres de cette MCAC lançaient une première grande enquête nationale ayant pour objectif d’évaluer l’impact de la crise sanitaire sur les acteur·rice·s artistiques et culturel·le·s et d’identifier les mesures et accompagnements pour y faire face. Les résultats de ce travail ont permis de faire remonter de manière fine aux pouvoirs publics les problématiques rencontrées par les acteur·rice·s, d’élaborer des propositions concrètes en termes de politiques publiques et d’affiner les réponses collectives apportées aux acteur·rice·s par le biais de mesures et l’accompagnements collectifs et individuels personnalisés et adaptés.

Dans la continuité de ce premier travail, les membres de la MCAC ont décidé de lancer en janvier 2021 une seconde enquête nationale devant permettre de mesurer les effets de la crise sanitaire de la COVID-19 auprès de structures culturelles de toutes natures (membres ou non de l’UFISC et des fédérations de la MCAC) en centrant les questionnements sur les aspects socio-économiques et financiers. Il s’agissait pour eux·elles d’approfondir, à l’aune de cette première enquête et d’une année de crise, leur connaissance commune des difficultés et des problématiques rencontrées par les structures culturelles.


PDF - 798.4 ko (PDF - 798.4 ko)

Suite à la publication des chiffres clés FEDELIMA - données 2019 en janvier 2021, ce second volet apporte un éclairage plus précis sur la réalité des lieux et projets de musiques actuelles membres de la FEDELIMA. Ces informations permettent à la fois de comparer plus précisément la réalité des lieux et projets de musiques actuelles et de mieux appréhender la diversité des structures composant notre fédération.

Ce document propose en ce sens, une sélection d’indicateurs, tels la jauge de l’unité scénique principale, le nombre de dates diffusées à l’année, le prix moyen des billets plein tarif, la hauteur de budget, le pourcentage de financements publics, le nombre de salarié·e·s permanent·e·s en ETP (Équivalent Temps Plein), la répartition sexuée des équipes, etc. en lecture comparative selon 10 grandes entrées typologiques.


PDF - 6 Mo (PDF - 6 Mo)

PDF - 1002.1 ko (PDF - 1002.1 ko)

Ce document publié par Live DMA (réseau européen de salles de concert, clubs et festivals) et traduit en français par la FEDELIMA donne un aperçu de l’impact de la pandémie sur ces lieux culturels en 2020 et 2021 en comparaison avec l’année 2019. Il présente des chiffres clés sur le nombre d’événements annulés, la baisse de fréquentation et les pertes de revenus générées par la crise. Le rapport explique également comment les salles de concert et clubs sont affectés en fonction de leur modèle économique.


PDF - 563.2 ko (PDF - 563.2 ko)

Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées, Université d’Angers" soutenu en 2004. Privilégiant l’excellence et la virtuosité instrumentale, les écoles de musique ont trop longtemps évolué dans un milieu clos, repliées sur elles-mêmes, entretenant ainsi un décalage entre l’enseignement et les attentes d’un public, au point de paraître aujourd’hui complètement inadaptées à la société moderne. Volontaires pour certaines, contraintes pour d’autres, elles tendent cependant à s’ouvrir à de nouvelles esthétiques musicales et à de nouveaux publics. Mais cette première avancée en faveur des Musiques actuelles ne se fait pas sans difficultés car celles-ci, beaucoup plus spontanées, imposent de nouvelles approches et conceptions pédagogiques qui inévitablement vont impliquer une réflexion profonde sur l’enseignement de la musique en générale. Cette intégration est sans conteste l’un des grands enjeux des prochaines années. La prise de conscience semble telle désormais que l’opportunité de remettre en cause les grands principes sur lesquels les écoles de musiques se sont construites, est tout à fait réelle. L’école de demain n’aura pas d’autre alternative que de s’ouvrir à toutes les musiques, à la diversité des publics et d’un monde occidental toujours plus cosmopolite.


PDF - 481.8 ko (PDF - 481.8 ko)

Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées" de l’Université d’Angers, septembre 2004. "La question qui de ce fait nous intéresse est de comprendre la place que peut prendre la culture depuis ces nouvelles étapes de la politique d’aménagement du territoire et la valeur ajoutée que ces nouveaux territoires apporte aux politiques culturelles. Pour la rédaction de ce mémoire, j’ai choisi de m’intéresser à la communauté d’agglomération du pays de Lorient. Pour des raisons de disponibilités et de temps, il m’a été impossible de m’entretenir avec tous les acteurs locaux. Il en ressort une vision plus politique que sociologique.