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Retrouvez dans cette bibliothèque numérique la liste des documents publiés par la FEDELIMA classés par ordre chronologique, type et thématique.
iCoop mène depuis 2020 une démarche nationale d’observation participative et partagée dans l’objectif d’appréhender la diversité des parcours des musicien·ne·s dans le champ musical, des musiques classiques et contemporaines aux musiques dites actuelles. La première phase de ce travail, présentée dans ce document, a consisté à mener des entretiens qualitatifs avec des musicien·ne·s.
Live DMA est un réseau européen de salles de concert, clubs et festivals qui rassemblent 21 organisations nationales (dont la FEDELIMA en France) et régionales à travers toute l’Europe. Live DMA a publié en janvier 2020 un rapport détaillé sur les activités et les modèles économiques de près de 2 600 salles de concert, dans 14 pays et régions européennes. Pour la première fois, des informations portant sur les salles de concert en Finlande, en Suède et au Royaume-Uni ont été intégrées à cette enquête.
En 2021, la FEDELIMA a décidé de traduire ce document initialement publié en langue anglaise afin de le rendre accessibles aux personnes francophones.
De nombreuses études statistiques nous l’ont souvent rappelé, la musique est la première pratique artistique des Français et ce n’est pas récent ! Expression personnelle et/ou collective qui permet de se rendre acteur et non pas seulement consommateur de culture, la pratique musicale en amateur fait écho aux droits fondamentaux de l’homme : toute personne a le droit de participer à la vie culturelle.
Et ce sont bien les personnes qui pratiquent en amateur qui sont au cœur de cette étude. Mais qui sont-elles ? Cette question qui sous-tend le premier volet de cette publication tient à la volonté d’actualiser la perception de ces musiciens et musiciennes et de mieux connaître leurs parcours et leurs pratiques. Quels instruments, quels styles de musique pratiquent-ils ? À quelle fréquence ? Pourquoi ? Dans quels lieux ? Autant de questions qui ont été posées en entretiens collectifs à plus d’une centaine de personnes, en complément d’une enquête en ligne à laquelle 1 300 musiciennes et musiciens ont répondu. Ce travail de recherche a permis d’affiner les représentations des pratiques collectives et volontaires en amateurs et de rendre visibles les artistes qui s’y adonnent.
Cette étude sur les salariés permanents travaillant dans les lieux et structures de musiques actuelles marque une étape importante dans la connaissance de l’emploi pour cette partie du secteur.
Bien que la FEDELIMA et le RIF organisent régulièrement des campagnes de recueil d’informations leur permettant d’avoir une connaissance fine et actualisée de leurs membres, elles ne disposaient jusqu’à présent que de données éparses quant aux caractéristiques liées aux postes et aux salariés travaillant dans leurs structures adhérentes. Cette étude vise donc à combler ce manque d’informations sur l’emploi permanent dans les lieux de musiques actuelles.
Les établissements public locaux (EPL) sont confrontés à l’absence de références et d’expériences communes dans la gestion de lieux de musiques actuelles et de textes réglementaires suffisamment clairs encadrant ces modes de gestion. Les zones de flou et les non-dits du Code général des collectivités territoriales (CGCT) laissent le champ libre aux interprétations arbitraires des collectivités de tutelle et des agents comptables publics. Face à ces constats, un groupe de travail s’est constitué au sein de la FEDELIMA et a souhaité mettre en œuvre une étude approfondie d’ordre juridique et de gestion, l’objectif étant de pouvoir formaliser un cadre des usages communs aux EPL.
En avril 2016 que la FEDELIMA s’est donc associée au Cabinet Baron, Aidenbaum & Associés pour mener cette étude et apporter des éléments d’analyse et de réponse qui vous sont restitués dans ce document.
Depuis 2012, Live DMA structure le travail de collecte de données au sein des lieux de musiques actuelles à l’échelle européenne. Dans le cadre d’une enquête annuelle, les réseaux et fédérations nationales membres du Live DMA collectent les données de leurs adhérents : activités, diffusion, fréquentation, emploi, recettes, charges... Ce document présente les données recueillies en 2018 sur les données d’activité de 2015.
Cette étude constitue la première étape d’une analyse qui s’envisage pour notre fédération de manière pérenne. Il s’agit, en effet, tout d’abord, d’affiner le recensement des modes, processus, projet de coopération entre acteurs sur les territoires. À partir de ces éléments nous pourrons construire une typologie des modes de coopération qui pourrait nous permettre ensuite de mieux concevoir, partager et accompagner ces dynamiques de coopération avec nos adhérents mais également avec les acteurs de l’économie sociale et solidaire, les collectivités territoriales, les partenaires professionnels et publics.
Nous concevons cette étude, tel un « work in progress », première étape d’un travail permanent de la FEDELIMA dans le champ de la coopération. Elle sera partagée et confrontée avec nos adhérents et partenaires. Elle invite également à d’autres approfondissements.
De nombreux lieux adhérents à la FEDELIMA participent à des projets de coopération européenne, sous de multiples formes et programmes possibles. Cette étude permet de faire le point sur les projets qui ont été réalisés entre 2007 et 2014, afin d’en comprendre les motivations, l’impact sur l’équipe et sur les activités de la structure.
Elle a permis d’identifier des besoins communs et les écueils face au montage de ce type de projets, pour ensuite pouvoir mettre en place des dispositifs d’information et d’accompagnement de façon concertée.
Ce travail d’observation a pour objectif de rendre compte des réalités de l’activité de diffusion des lieux, en particulier du réseau Fédurok/FSJ, devenu FEDELIMA. Il est conçu comme un outil visant à éclairer la connaissance du secteur des musiques actuelles et à aider à la prise de décision, en permettant aux acteurs (Ministère de la Culture et de la Communication, organismes et organisations professionnelles, collectivités locales, lieux de diffusion, d’accompagnement, d’enseignement,…) d’adapter leurs actions en direction de la diffusion.
Plusieurs réseaux de musiques actuelles (FEDELIMA, RIF, R.A.O.U.L, FRACA-MA, Collectif RPM, FERAROCK) de même que la Fédération Française des MJC (FFMJC) ont ressenti le besoin de disposer d’une vue d’ensemble des initiatives d’actions culturelles et de les capitaliser. Ils ont initié et porté un projet d’enquête dont l’objectif principal était d’identifier les projets considérés comme étant des projets « d’actions culturelles » aux yeux des structures membres des réseaux impliqués. L’enjeu étant de mettre en avant la diversité des formes d’appropriation du terme par les opérateurs de terrain via le recensement et l’observation de leurs pratiques en la matière.